header parallax image
Essais du club
  • Actualités
  • Essais (A – H)
    • Abarth
    • Audi
    • BMW
    • Citroën
    • Dacia
    • DS
    • Fiat
    • Ford
    • Hyundai
    • Infiniti
  • Essais (I – O)
    • Jaguar
    • Jeep
    • Kia
    • Land Rover
    • Lexus
    • Mazda
    • Mercedes-Benz
    • MPM
    • Nissan
    • Opel
  • Essais (P – V)
    • Peugeot
    • Renault
    • Seat
    • Skoda
    • Subaru
    • Suzuki
    • Tesla
    • Toyota
    • Volkswagen
    • Volvo
  • Le Blog
    • À propos
    • Liens
    • Contact
  • Actualités
  • Essais (A – H)
    • Abarth
    • Audi
    • BMW
    • Citroën
    • Dacia
    • DS
    • Fiat
    • Ford
    • Hyundai
    • Infiniti
  • Essais (I – O)
    • Jaguar
    • Jeep
    • Kia
    • Land Rover
    • Lexus
    • Mazda
    • Mercedes-Benz
    • MPM
    • Nissan
    • Opel
  • Essais (P – V)
    • Peugeot
    • Renault
    • Seat
    • Skoda
    • Subaru
    • Suzuki
    • Tesla
    • Toyota
    • Volkswagen
    • Volvo
  • Le Blog
    • À propos
    • Liens
    • Contact

Renault Alaskan

27 juillet 2018Thibaut6341 views
Renault Alaskan dci 190

En planifiant un déménagement, je me suis demandé quel véhicule, en dehors des traditionnels fourgons, pouvait bien être aussi pratique au quotidien que pour transporter tout et n’importe quoi. Après avoir écarté les breaks Volvo, désormais trop luxueux pour ce genre de tâches basses, ce sont nos amis américains qui m’ont mis sur la voie : le pick-up, il n’y a que ça de vrai ! Et pas besoin d’aller de l’autre côté de l’Atlantique, le pick-up existe aussi en France. Avec une seule proposition tricolore : le Renault Alaskan. Nous lui avons épargné le transport de cartons mais ne l’avons pas ménagé pour autant. Peut-on tout faire avec ce mastodonte sur nos (petites) routes ? Yes, we kan !

Essai Renault Alaskan

STYLE EXTERIEUR

« Ça va aller pour le garer en région parisienne ? Il fait 5,40 m…sans l’attelage ! ». C’est par cet avant-propos qu’a débuté notre essai du Renault Alaskan lors de la remise des clés du véhicule. Massif, imposant, impressionnant, intimidant… Les adjectifs ne manquent pas face à ce pick-up plein de testostérone. Son faciès affirmé reprend pourtant tous les codes Renault et on pourrait (presque) le prendre pour un SUV de la gamme tant on retrouve d’éléments stylistiques communs, de la forme de l’imposante calandre à la signature lumineuse à LED.

Vu de trois quarts, les gros pneus et surtout la benne surmontée d’arceaux chromés, comme sur un Ford Ranger, n°1 du segment en France, interpellent. Pendant notre essai, il n’était pas rare de voir se retourner les passants, intrigués par cette Renault pas si commune et pas si discrète.

Renault Alaskan 4x4

Le gabarit peut constituer un handicap pour se garer – ce qui n’a pas du tout été notre cas même en plein Paris, la chance nous a tout le temps souri ! – et implique de faire attention à la hauteur également à l’entrée des parkings : il n’est pas rare que l’antenne radio touche le plafond.

À BORD DU RENAULT ALSAKAN

Les gènes Nissan transpirent à bord de l’Alaskan. Pour des questions évidentes de réduction de coûts de développement, le tableau de bord est repris à son cousin le Nissan Navara, ce qui n’est pas un inconvénient car celui-ci se révèle ergonomique et bien assemblé. Sans respirer le haut de gamme, l’ensemble présente bien et semble conçu pour durer et résister à une utilisation rude.

Renault Alaskan intérieur

La place à bord ne manque pas, avec une largeur proportionnelle aux côtes du véhicule. Au volant, on est à l’aise dans son fauteuil quel que soit son gabarit, avec une vue sur le capot bombé de chaque côté.
À l’arrière, l’accès est facile grâce aux portes traditionnelles qui donnent sur une banquette accueillante bien qu’un peu trop verticale.

Quant à l’espace de chargement, on ne parle pas ici de coffre, mais de benne ! L’espace y est immense (1,17 m3 de volume utile) et on peut y accéder soit par la trappe s’ouvrant vers le bas, soit par le couvre-benne disponible en accessoire pour charger des choses en hauteur. Comme une moto ou un ballot de paille… 

SUR LA ROUTE

Si l’Alaskan pouvait danser, son « truc » serait plus le haka qu’un ballet classique. Sur la route, il n’a pas l ’agilité du petit rat de l’opéra, mais la puissance et l’assurance d’un pilier de rugby. Coupleux, il fait sentir sa force à travers des patinages de roues lors d’accélérations un peu trop prononcées. Ses 190 ch suffisent à lui offrir la polyvalence nécessaire pour des longues escapades sur des trajets de plusieurs centaines de kilomètres.

Renault Alaskan double cabine

Dans la campagne reculée des Yvelines où nous l’avons principalement essayé, nos ardeurs sont assez vite calmées par le poids de l’engin et sa prise de roulis conséquente. Néanmoins l’Alaskan n’est pas déplaisant à mener, une fois habitué à la boîte qui semble souvent mouliner à la manière d’une transmission à variateur avec le bruit associé. Dans l’ensemble, le pick-up français est plutôt confortable et suffisamment performant pour s’insérer sur les grands axes, ce qui en fait un bon partenaire sur les longs trajets.

Et hors de la route ? Son aisance est encore plus grande. Avec ses gros pneus et sa garde au sol surélevée, le Renault Alaskan invite à sortir des sentiers battus. Sa transmission 4×4 et son mode à rapports courts spécialement conçu pour les zones difficiles offrent une belle efficacité sur tout type de terrain.

Renault Alaskan offroad

ÉQUIPEMENTS DU RENAULT ALASKAN

En termes d’équipements, l’Alaskan se situe entre l’utilitaire basique et le SUV moderne bourré de technologies. Il se dispense de la panoplie d’aides à la conduite surtout utiles en ville et sur les longs trajets autoroutiers mais ne néglige pas les aspects pratiques et la vie à bord. En tout terrain, c’est sa transmission intégrale qui donne satisfaction, avec son contrôle de vitesse en descente.

En ville, on apprécie la présence de la caméra de recul, qui évite de faire des compressions à la César en écrabouillant la Twingo garée derrière. Mieux, celle-ci est à 360° sur notre finition Intens. La visibilité est bonne grâce à des surfaces vitrées larges et bien carrées, mais pour ne pas prendre le risque de sous-évaluer la longueur de la benne, cet équipement est le bienvenu. Le système multimédia repris à Nissan se montre intuitif et offre les fonctionnalités Bluetooth bien connues et commodes, tout comme l’écran tactile 7 pouces. Parmi les équipements technologiques figurent aussi des feux full-LED avec une jolie signature lumineuse.

Renault Alaskan hauteur

PRIX RENAULT ALASKAN

Renault Alaskan à partir de 36 860 € TTC
Modèle essayé : Renault Alaskan Intens dCi 190 BVA avec peinture Blanc Glace à 45 960 €
3 niveaux de finition :
Life, Zen, Intens
2 moteurs :
dCi 160 ch et dCi 190 ch
Boîte manuelle et boîte automatique

Renault Alaskan Nissan Navara

On aime

_ Son look mastoc mais pas inélégant

_ Ses capacités à s’aventurer partout

_ Il reste exploitable au quotidien, même en région parisienne !

On regrette

_ Le côté rustique de la boîte automatique

_ Le manque de différenciation avec le Nissan Navara

  • Design
  • Habitabilité
  • Performances
  • Consommation
  • Équipements de série
  • Rapport qualité/prix
3.6

Résumé

Même sans avoir particulièrement besoin d’exploiter les capacités de chargement et de franchissement du Renault Alaskan, on prend goût à conduire cet engin avec assurance… et une pointe de prudence étant donné le gabarit ! Son design de taureau dopé à la testostérone ne trompe pas sur ses capacités à s’aventurer à peu près partout sans jamais fléchir. Côté équipement, ce n’est pas l’Amérique, mais son style et son efficacité compensent largement. En bref, le Renault Alaskan donne envie de déménager…à la campagne !

Merci à Renault France pour le prêt de cet imposant pickup Renault Alaskan
Pour plus d’informations sur les prix et équipements de l’Alaskan, cliquez ici

4x4automatiqueDieselessaipickuprenault
  • tweet
previous story

Skoda Fabia R5 WRC édition

next story

Peugeot 5008 GT

Thibaut

Thibaut

Passionné d'automobile depuis la petite enfance, j'ai toujours été attiré par les modèles populaires, surtout les anciennes ; j'en ai d'ailleurs quelques unes... Avec mon autre passion, la photo, et mon goût pour l'écriture, je m'applique à retranscrire le mieux possible les impressions sur les voitures essayées... avec passion, forcément !

Vous aimerez aussi

Essai Nouveau Range Rover

6 octobre 2022

Essai Renault Arkana

25 septembre 2022

Essai Mercedes EQB

20 septembre 2022

No Comments

  1. Ping : Essai Nissan Navara Off-Roader+ AT32

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Vous aimerez aussi

DS 3 Cabrio Givenchy Le MakeUp

13 septembre 2016
Infiniti Q50 S hybride

Infiniti Q50 S hybride

26 septembre 2018

Volvo XC40

30 août 2018
Mercedes-Benz GLA

Mercedes-Benz GLA

23 décembre 2016

Suivez-nous sur Facebook

Nos derniers tweets

Tweets by Essaisduclub

Essai Citroën – Essai Peugeot – Essai DS – Essai Mercedes – Essai Mercedes-Benz – Essai Volvo – Essai Nissan – Essai Infiniti – Essai Toyota – Essai Lexus – Essai Renault – Essai Tesla – Essai BMW – Essai Audi – Essai Volkswagen – Essai Suzuki – Essai Opel – Essai Hyundai – Essai Fiat – Essai Abarth –  Essai Land Rover – Essai Kia – Essai Seat – Essai Mazda – Essai Jeep – Essai Seat – Essai Skoda – Essai Ford – Essai Dacia – Essai Toyota – Essai Cupra – Essai MG – Essai Voiture électrique – Essai voiture hybride – Essai Hybride rechargeable – Essai Porsche – Essai Lamborghini – Essai Ferrari – Essai Maserati – Essai Jaguar – Essai Honda – Essai Bentley – Essai Aston Martin – Nouveautés – Auto – Automobile – Automobiles – Voiture – Test Drive – Test – Essai – Essais – Essais du Club – Les Essais du Club – Blog Auto – Blog EDC

  • Top Rated
  • Recent




Essais du Club - Bertrand ONGARETTI - © 2022